Le président de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT), Samuel Eto’o, a réagi avec sérénité aux propos critiques de Marc Brys, rapportés par un média belge. Fidèle à son style direct et à son charisme légendaire, l’ancien attaquant star des Lions Indomptables a tenu à remettre les pendules à l’heure sans céder à l’escalade verbale.
Dans une interview accordée à RFI, Eto’o a balayé d’un revers de main les déclarations du sélectionneur national, insistant sur son rôle et son rang : « Si je vais répondre à un employé, vous verrez que je prendrai le niveau qui est le mien. Je vais rester à mon niveau de président… » Une manière claire de rappeler que ses priorités se situent bien au-delà des querelles de mots.
Samuel Eto’o, une cible qui fascine
Habitué aux projecteurs depuis ses années glorieuses sur le terrain, Samuel Eto’o a souligné que son nom revient souvent au centre des débats, signe de son influence : « Si vous ne parlez pas de Samuel Eto’o, on ne sait même pas d’où vous êtes sorti. […] Ça veut dire que, quelque part, j’ai réussi quelque chose. »
Une réponse empreinte de fierté qui témoigne de la stature unique qu’il occupe dans le paysage footballistique africain.
Une vision claire pour le football camerounais
Face aux turbulences, le président de la FECAFOOT reste fidèle à sa mission : transformer et moderniser le football camerounais.
« Je n’ai de problème avec personne, j’ai une mission et je dois la remplir, point final », a-t-il martelé, démontrant une fois encore sa détermination à mener le navire à bon port.
Depuis son élection à la tête de la FECAFOOT, Samuel Eto’o ne cesse de polariser les avis. Entre réformes ambitieuses et controverses, il continue d’imposer sa vision avec une force tranquille.
Sa réponse à Marc Brys ne fait que confirmer une chose : le président Eto’o est avant tout un homme de défis, décidé à écrire une nouvelle page de l’histoire du football camerounais.
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